Les Algériens du Canada:
C’est le titre choisi récemment par le média français « l’Obs » pour décrire les Algériens du Canada et leur réussite par rapport aux difficultés trouvées ailleurs dans le monde.
Selon « l’Obs », dans son édition du 13 mars, « ils sont 80 000 à vivre au Canada, auxquels s’ajoutent autant d’autres Maghrébins ».
Installés pour la plupart à Montréal, les Algériens du Canada forment un groupe dynamique et bien intégré.
Les Algériens établis au Canada sont au nombre de 80 000. Installés pour la plupart à Montréal, ils forment un groupe actif, sérieux et bien intégré.
Les cadres algériens au Canada sont nombreux: médecins, informaticiens, ingénieurs et architectes. «Leur intégration dans la société est exemplaire», affirment les médias locaux.
Algériens du Canada, la réussite
Seule ombre au tableau : une loi sur la laïcité, qui a envenimé les relations entre communautés.
Pour l’Obs, pour la froid, les Maghrébins ont l’habitude des temps rugueux: » Ici, tout le monde le sait : il neige souvent au Maghreb. On y est habitué, il faut juste fermer les écoutilles quand le thermomètre tombe en dessous de moins 30 °C. Le reste du temps, ça grouille de monde.
« Les gens y font leurs emplettes, visitent les associations d’entraide et d’insertion, papotent entre voisins ou font une pause dans les bars à chicha. Le week-end, il y en a même qui viennent de Boston ou New York pour venir respirer l’« odeur du bled ».
Sérieux et discipline, les atouts
Pour beaucoup d’Algériens du Canada, le climat nord-américain incite à l’action, au sérieux et à la vie de famille, autant de critères qui comptent dans la réussite ou l’échec de l’individu.
De même, les cadres algériens algériens au Canada sont nombreux: médecins, informaticiens, ingénieurs et architectes. Leur intégration dans la société est exemplaire.
Un modèle à suivre
Aussi, tous ceux qui viennent se greffer après, calquent leur mode de vie sur le modèle qui a réussi, et ainsi se renouvellent les chances de réussite.
Les Algériens du Canada ont réussi mieux qu’ailleurs, preuve en est, le peu de problèmes qu’on peut lire sur les médias sur eux.